La possibilité d’une fête, de frivolités partagées, une surprise-partie, pas vue, pas prise. C’est l’un des cadres du premier roman, Vercoquin et le plancton de Boris Vian auquel ce projet artistique, empruntant par ailleurs la moitié du titre de l’ouvrage, rend hommage. C’est également ce à quoi vous convie ce concert-spectacle : un tintamarre harmonieux loin du boucan cacophonique ambiant exhortant à larguer les amarres.
Les Vercoquins s’en vont quérir le répertoire du musicien, farfouiller la polissonne polyphonie du jazz qui enjoint le corps au mouvement, ça swing sur le ring.
Trois zazous : Anaïs au violoncelle, Charlie à la guitare et au chant, et Vincent à la clarinette
La possibilité d’une fête, de frivolités partagées, une surprise-partie, pas vue, pas prise. C’est l’un des cadres du premier roman, Vercoquin et le plancton de Boris Vian auquel ce projet artistique, empruntant par ailleurs la moitié du titre de l’ouvrage, rend hommage. C’est également ce à quoi vous convie ce concert-spectacle : un tintamarre harmonieux loin du boucan cacophonique ambiant exhortant à larguer les amarres.
Les Vercoquins s’en vont quérir le répertoire du musicien, farfouiller la polissonne polyphonie du jazz qui enjoint le corps au mouvement, ça swing sur le ring.
Trois zazous : Anaïs au violoncelle, Charlie à la guitare et au chant, et Vincent à la clarinette